Lettre du chevalier Horald à la reine Yiselda par Thenestohs

De cette porte passant le seuil, dans ma vie vous êtes entrée
Comme d’un soyeux linceul, de beauté étiez parée
Comment vous ignorez, de votre présence ébloui
Me voilà damné, d’un instant à toujours séduit.

Douce comme le miel votre voix ensorceleuse
Et vos yeux tels des prismes rayonnants
Eclairant votre visage, angélique rêveuse
Et moi devant vous, insignifiant.

Que donnerai-je oh ma mi pour être vu de vous
Perdu dans ce dédale, ma vie devenue floue
Cet amour clandestin que je voue me ronge
Et vous chaque nuit venez hanter mes songes.

Mais jamais ne saurais-je vous plaire
Oh femme déjà comblée
Que je décroche l’astre lunaire
Vous ferait-il me regarder ?
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j'sais pas un petit trip que j'ai tapé comme ça, faites pas attention