Presentation des personnages pour Seigneurs de Vulthetia

tout est dans le titre, passage obligatoire si vous désirez participer au RP...

Bon voila pour l'espect physique:
- nom: Lothia VELA ( remarquerez que j'ai fait un effort pour trouver un nom d'elfe noir et pour la petite histoire sa vien des paquet de mouchoir lotus )
- race: elfe noir de morrowind
- sexe: femme (chx rouge-roux et yeux rouge-orangé)

- vetements: cape de camouflage, avec pantalon en cuir de necht et corset de qualité, ceinture de cuire avec différent compartiment pour ranger des herbes ou de la nurriture. Botte haute de cuir

- Style de combat : archère et épeiste.

- Armes : Arc long elfique (mais peut aussi manier les arbalètes) + épée longue à une main+ une petite dague cacher dans une botte .

- Possède une monture élégante et rapide nomé Nexia.

- Histoire :

Lothia VELA naquit de parents Dunmer de la province de Morrowind. Elle vécu une grande partie de son enfance dans un village près de Narsis, au sud de Morrowind. A son entrée dans l’adolescence Dunmer, son village fut attaqué par une horde de pillard qui tuèrent ses parents alors qu’elle était cachée dans une armoire, elle assista à toute la scène : Un Bosmers, certainement chef du groupe, tua tout d’abord son père puis viola sa mère à l’aide de 3 autres pillards avant de lui trancher la gorge et de lancer sa tête contre un mur, laissant une grande traînée de sang. Quand les pillards furent partis, Lothia sortie de sa cachette et découvrit qu’elle était la seule survivante de son village. A cet instant, elle pris conscience que plus rien ne la retenait dans son village natal. Elle s’occupa d’enterrer ses parents selon les rituels Dunmer puis partie pour la capital de Morrowind : Longsanglot.

A son arrivée, elle fut recueillie par un homme de son village natal qui était parti bien avant l’attaque du village. Cet homme l’éleva comme sa fille. Parallèlement, elle commença à remplir quelques missions pour différentes guildes sans pour autant en devenir membre. Elle développa ainsi une excellente précision et une parfaite maîtrise des armes de jets. Elle se concentra aussi sur l’apprentissage des facultés liées aux épéistes en s’améliorant dans les lames longue à une main.

L’homme qui l’avait recueilli, n’étant qu’un simple humain, mourut par la suite de vieillesse et affaibli par le fléau au moment ou Lothia entra dans l’age adulte des elfes.

Elle était devenue très belle. La couleur de sa peau et son grain parfait témoignait de ses origines. Ces cheveux possédaient une couleur rouge vif quant à ses yeux, Ils brillaient d’une couleur rouge-orangé, caractéristique de sa race.
Après l’enterrement du vieil homme, Lothia décida de se lancer dans l’exploration du monde de Tamriel. Ainsi elle voyagea dans chacune des provinces de Tamriel étant plus ou moins bien accepté à cause de ses origines Dunmer. Lorsqu’elle se rendit à Cyrodiil, la capitale impériale, elle rencontra dans une taverne un Bosmers dont le visage la fit bouillir de haine : il s’agissait de l’elfe qui avait pillé, détruit et violé sa mère. Elle décida donc de venger ses parents. Pour se faire elle séduit l’elfe qui était déjà bien ivre. Une fois dans une des chambres de la taverne ils firent l’amour mais avant la jouissance du Bosmers, Lothia attrapa son épée et la lui planta en pleine poitrine. Il en résultat un cri étouffé de l’elfe dont les poumons se vidèrent d’un coup. Un jet de sang parti et recouvrit Lothia lorsqu’elle retira sa lame. Une flaque de sang se format très vite sous le lit. Lothia se rhabilla rapidement juste après avoir essuyer le sang qui la recouvrait et s’enfuit par la fenêtre. Le lendemain, la capitale était en état d’alerte, en effet le Bosmers retrouvé mort avait acquis une place importante au coté du roi ce qui obligea Lothia a quitter la province de Cyrodiil et repartie vers Morrowind.

Sur son chemin, elle entendit parler d’une région s’appelant Vulthetia non loin de l’île de Vvardenfell et décida de s’y rendre pour chercher un peu de tranquillité. Mais, fatigué de son voyage et sa monture « Nexia » étant à bout de force, Lothia décida de s’arrêter à Longsanglot pour y reprendre des forces. Elle se réapprovisionna en nourriture, changea d’épée au profit d’un katana daedrique, acheta un nouvel arc enchanté de très belle facture elfique qui lui octroya une précision supplémentaire, réapprovisionna son carquois de flèches d’ossement, acquis une cape de voyage et se trouva de nouveaux vêtements et passa une dernière nuit dans une taverne pour partir au petit matin.

A l’heure actuelle, Lothia vient de quitter longsanglot et remonte en direction de Vulthetia.



Profil psychologique

Elle aime les belles choses, les beaux hommes, les belles femmes ( et oui sa ne la dérange pas), les beaux paysages, les beaux habilles et les belles armes.

Elle est aussi un peu sadique et aime répondre aux question con par des réponses con. Elle apprécie taquiner les membres avec lesquels elle voyage mais sais se faire pardonner (je ne parle pas forcement sexuelement).

Elle peu se montrer d'une colère et d'une cruauté incroyable au combat et encore plus lorsqu'elle se fait blaissé.

Elle est sensible aux scènes gors et vite malade bien que souvent elle en soit à l'origine (ex: tailladé en petit morceau un ennemis après un surcroit de colère).

si je demande de présenter vos personnages, c'est essentiellement pour que lorsque les autres parlent pour votre PJ, ils puissent connaître un minimum de son histoire passée et de ses projets futurs...

donc L'Ange, si tu peux compléter un peu...

Je me nommes Khaine Lzathôt, Ex-Apprenti du seigneur-mage Nécromancien, Ilrius, maître des arcanes noirs depuis bientôt 2000 ans.

Ma naissance remonte à il y a fort longtemps, lorsque les terres de Vuléthia était en proie à la guerre et à l'infamie. Mes parents se nommaient rolius et Chiria, l'un était pêcheur, et vivait de cette activité comme une passion et un métier... Les embruns palpant les cieux, la colére d'Ondine, et les caresses du Zéphyr ont toujours nourris en son coeur des histoires fantastiques et merveilleuses. Monstres légendaires, ciés perdues et englouties, Sirènes Mirifiques et Magnifiques aux regards envoutant, à l'apparence charnelle si belle et si exaltante, que même le plus faible des hommes prendrait la mer pour goûter aux plaisirs de ces amazones aquatiques... Un jour, par forte tempête, il décida de prendre la mer, pour nous nourrir, ma mére et moi... Les cieux crachaient leurs haines envers les mortels, la pluie innondait nos parcelles, le vent arrachaient les plaines... On aurait cru que Lorkham lui-même était revenu à la vie... Mon père, lui, la perdit... Son corps ne fût jamais retrouvé, pas plus que son navire d'ailleurs... Certains pensent que cette tempête précédaient le passage d'un monstre mythique nommé le Léviathan... et que cette créature onduleuse et oubliée même des dieux aurait engloutis mon géniteur... Je répondrais foutaises à cela toute ma vie. Les vagues étaient déchaînés, le navire à chavirer et mon père à rejoins les dieux de l'océan dans leur funébre banquet maritime...
Mon père m'a toujours dits qu'un homme devait savoir se battre et prendre des risques pour ce en quoi il croyait.
Qu'importe les risques.
Qu'importe les conséquences.
Qu'importe le prix à payer pour sa propre liberté.De lui, j'ai hérité de ce teint sombre et de ses yeux rouges flamboyants. En mon coeur couve la même colère envers les traîtres, envers les personnes bafouant un serment et prenant leurs jambes à leurs coups pour éviter le châtiment final...
Aujourd'hui, et plus que jamais, sa mort à fait ma force, ses conseils et mon éducation, la personne que je suis.

Ma mére était une sublime bosmer nommé Chiria. De ces origines, elle ne m'a jamais rien raconté, probablement par envie d'oublier un passé trop difficile à expliquer, et à admettre.
Je me souviens...
Je mes souviens de ses magnifiques yeux bleus azur, où l'on aurait cru l'incarnation des cieux azur les plus purs qui aient jamais existé...
Je me souviens...
Je me souviens de sa chevelure dorée, refletant la lumière du soleil en milles exquises cascades ennouées...
Je me souviens de sa beauté et de sa sagesse... des histoires au coin du feu... des diners à deux... des jeux bienheureux et des douleurs hideuses...
La mort de mon pére eut finalement raison d'elle...
Ma mére me raconta avant de s'éteindre un beau matin d'hiver, que lorsque deux personnes qui s'aiment sont séparés, elles se laissent mourir... pour rejoindre au plus vite l'amour de sa vie... pour prouver à la face du monde que l'amour est le plus beau des pêchés, la plus belle des folies, la plus grande des envies...
J'ai hérité de sa sagesse et de sa justesse de décision...
Au plus profond de mon coeur, je sens sa présence...
Chaque battement de cils et un battement de son coeur, chaque pas en avant et un souvenir sans rancoeur...
Osmose...

Celui qui oublies ces racines oublies qui il est, et abandonne tout espoir de vivre.
Jamais je n'oublierais les miennes...

A 14 ans, je me retrouvais seul et devait subvenir à mes propres besoins...
A 14 ans, on rêve et on découvre... la chaleur des fougueux baisers, la preuve de notre amour à nos dames, l'envie de tout défier...
... pour mieux grandir...
Moi à 14 ans, j'ai découvers la solitude d'une âpre et morne existence, guidé par le long et sombre couloir de la solitude, et ses apôtres de la faim, de la soif, du froid, des pleurs et des regrets...
L'enfer... L'oblivion...
Après un hiver passé à croquer des poissons crus, des oisillons capturés dans leurs nids, et des pousses d'herbes glacées, je décida de partir pour la capitale...
Mon premier contact avec la civilisation fût des plus étranges...
Les gens me regardait, croyant avoir affaire à un monstre tout droit sorti des légendes, venus dévorer les femmes et les enfants, pour assouvir la haine gracieuse de pleurs révclus...
Mais je n'était qu'un enfant...
Le jour où j'arriva en ville fût le jour où je découvris mes talents pour cet art obscure et divin qu'est la magie...
Des gardes me pourchassaient dans les rues...
Je me souviens de la respiration haletante, de la peur palpable...
Adrénaline...
Je fûs bloqué dans une ruelle sans issue...
Les gardes s'appretaient à mettre fin à mes jours, sans savoir que j'étais un être humain...
Et tout redevint clair...
Ma mére, mon pére, le bonheur, les rires et les chants...
Je cria de toute mes forces et lorsque j'ouvris les yeux, une mare de sang s'étalait devant moi...
On eut dit qu'une bête sauvage s'était défoulé sur les gardes...
Membres éparses, visages figés dans une morne douleur, je contemplais la mort dans sa plus ultime leçon, dans sa beauté figée...
Et le noir... le noir ambiant...
Puis mon maître... Ilrius... ni vivant, ni mort, ni humain, ni bête... Spectre des siécles passés, rongés par la magie noire et par ses regrets... il m'envoya dans un lieu inconnu de tous, oublié des érudits et des rois dormant dans leurs tombeaux de marbre...
Il m'enseigna les arcanes de la magie noir durant 6 ans...
6 longues annés à contempler des divintés daedriques enchassées dans une piété sans faille envers la dégénérèscence d'un monde qui ne cessait de se déchirer...
J'y appris comment dompter les éléments... commet ouvrir des portails vers d'autres plans...
J'y appris comment tuer...
Et comment ramener les morts à la vie...
Chaque leçon était la plus douloureuse des épreuves... j'étais l'allié du Mal dans sa plus grande plénitude et je couvais en mon coeur une haine sans faille envers les vivants...
Mais dans mon âme résonnait les échos oubliés d'un passé déchiré...
Et c'est ce qui me conduisit à l'exil...
L'ultime épreuve de ma foramtion fût une vision...
Ma mère et mon père réunis sous mes yeux...
Un tendre souvenir en guise de retrouvailles...
Je devais les tuer.
Pour devenir Maître-mage à part entière...
Et je refusa...
Ilrius entra dans une colère noire et me bannit...
Il voulut me tuer... Mais ce rechigna finalement... car même dans le plus sombre des coeurs peut se retrouver la plus communes des choses... l'instinct paternel...
Il m'oublia et recommença ses longues études nécromantiques...
Dans quel but?
Je l'ignores...
Mon exil me conduisit en un hameau retiré loin au nord de la capitale...
C'est en ces lieux que je découvris l'amour...
Une magnifique dunmer nommé Veualiah me charma au premier regard...
La caresse de ses divines lévres, l'odeur de son corps, la beauté de ses formes, la pureté de son âme fit de moi le plus heureux des hommes et le plus comblé...
Je me souviens...
Je me souviens des conversations au coin du feu, ou le monde s'efface pour laisser place à des prijets fugaces...
Je me souviens...
Je me souviens de nos deux corps entrelacés, bafouant les mornes préceptes de la pitié, me rappelant au plaisir de la chair enjouée...
Je me souviens d'elle et de son amour...
Et je ne l'oublierai jamais.

Veualiah mourut brutalement il y a deux mois... Assassiné par le nouvel apprenti d'Ilrius, venu finalement trouvé sa vengeance...
Il apporta la mort à mon bonheur, à la femme de ma vie, et disparut...

Aujourd'hui, je le recherches, en quête de ma vengeance finale... mes noirs pouvoirs comme seuls alliés, ma haine comme seule compagne...
On dit que quand deux être qui s'aiment sont séparés... ils se laissent mourir...
Veualiah m'a quitté.
Mais je ne me laissrais pas mourrir...
Pas tant que j'aurais retrouvé cet assassin...
Dussé-je défier les dieux.

Nom: Orza
Race: Nordique
Aspet: Plutôt petite pour une nordique mais bien muscler,des yeux bleu tirant vers le vers lorsque la colere gronde ,des cheveu blond tresser de manière compliquer mais élégante,toujour tête nue.
Armes: Hache ,masse d'arme et marteau sont les armes qu'elle utilise.
Qualite et défault
génereuse Elle ne suporte pas de voir une personne malheureuse , cherche toujour a rendre service ,a aider,ce qui l'a pousser a entré chez les Rédoran et lui a attirer de nombreux ennui.
maladroite Elle adore le combat mais elle ne fait pas toujour attention et donc lorsque le combat est terminer il n'est pas rares que certain allier soit mort sous sa hache.
Forgeron Si vous êtes en sa companie auprès d'un feu de camp n'ésitez pas a lui confier vos armes et pièce d'armure elle vous les répareras (enfin elle esseyera)
Histoire On ne sait rien d'elle avant son arriver chez les Rédoran et elle refuse de parler de son passer.Les question sur le sujet l'ambarasse Elle ni répond jamais et parfoi fui ou se fache a cause de sa.
La perspective d'un combat sanglant la réjouit ma la mort possible d'un compagnon la terrifie.Elle n'aime pas les villes et préferent la nature elle adore les robes surtout celle qui peuve masquer son armure Dwemer(dont elle ne se sépart jamais).

Ben je vais essayer de faire pareil, c'est vachement bien raconter vous tous, c'est Génial!!!! Et Khaine, c'était magnifique!!!!!!


Nom : Maelviana
Race : Elfe Noire
Aspect : Yeux orangés - qui deviennent rouge sous une forte dose d'adrénaline, surtout à l'approche d'un combat - s'accordent très bien avec sa peau grise. Une plastique pas parfaite, mais charmante, elle a une cicatrice sur la joue, lui donnant un air de séverité et de cruauté s'adaptant très bien à sa mentalité. Taille moyenne.
Profil Psychologique :
Peut être très sadique lors des combats. C'est un être assez sensible même si elle garde un état de fermeté constant. Franche, voir blessante, elle adore rire avec ses amis, mais reste de marbre avec tous les autres. Son père lui a insufler un sens de l'honneur sans conteste, elle déteste parâitre faible devant ses ennemis. Considère les plus fort guerriers homme comme ses éguaux.
Arme : Arc long d'ossement qu'elle manie d'une main de maître ; épée longue dwemer, butin d'une exploration dans des catacombes. Certains sorts assez basiques, lointains souvenirs de sa vie à la guilde des mages.
Armure : elle porte une armure intégrale d'ossements, qui lui permet d'avoir une bonne protection et une libertée de mouvement exemplaire.

Histoire : Née fille de nobles Rédoran de Ald Rhun, elle se différenciait déjà à 6 ans des filles normales, préférant jouer et adopter un comportement identiques aux garçons les plus turbulent.
Elle fut éduquée et formée par la guilde des mages, et passait pour une élève douée mais discipée.
Puis un jour, sa mère mourru lors d'une attaque de brigands, une flèche enflammée la percuta en plein coeur. Le père de Maelviana était juste à coté d'elle à ce moment là, et Maelviana gardera à jamais ce souvenir en mémoire. Même si les brigands furent tous tués lors de l'attaque, Maelviana garde encore une envie de vangeance inssassiable, ce qui la rend vraiment très cruelle lors des combats.
Son père trouva, après plusieurs années de deuil, une autre femme très charmante, et il se marièrent. Maelviana n'aimait pas vraiment cette femme, mais elle la respectais.
Son père lui donna un sens de l'honneur irréprochable, et elle comença à s'interresser aux armes dès l'âge de 16 ans. Elle suivait des entrainements avec une certaine Nordique du nom de Orza, avec qui elle s'était liée d'amitiée.
Un conseiller Rédoran la remarqua lors d'un de ces entrainement, et lui proposa d'entrée dans la maison Rédoran. Maelviana accepta. En peut de temps, elle avait atteint le rang de "père de la maison" et était réputée pour son aptitude à se sortir des mauvais pas. Ses hommes l'apréciaient beaucoup et l'estimait en tant que tel.

Son père avait un frère qui était parti en ermite sur une lointaine île nommée Vulthétia, et celui-ci fut adopté par une tribut locale en tant que guérisseur.

Un jour, une nouvelle accablante circula dans tout Morrowind : une expédition avait totalement été décimée par une embuscade d'être totalement inconnus. Craignant pour son frère, le père de Maelviana lui proposa d'aller en Vulthétia pour le protéger.
Elle accepta, et pris quelques hommes avec elle.

Arrivée à Vulthétia, sont escouade fut attaquée par une petite troupe d'êtres étranges, la laissant perplexe au sujet de leur nature.
Elle réussi à retrouver son oncle après deux semaine à chevaucher dans les landes sauvages de l'île.
La tribu de son oncle avait déjà été attaquée à divreses reprises, et la venue de Maelviana réjouissa tous les coeurs.
Depuis ce jour, Maelviana et sa troupe son alors les protecteurs de cette tribu.

Nom: marnus
Race: Nordique
Aspect: grand et blond comme la majorité des nordiques. Il ne porte par contre ni les moustache ni les tatouages que porte habituellement ces dérniers.
Profil Psychologique: Loyal et fière, marmnus est un homme d'honneur. Il ne refuse jamais un combat loyal.
Armes: Dai-katan daedrique offert pas son maitre défunt et arc long en ossement.
armure: Marnus porte une armure de la garde royal complète. Elle a neanmoins été modifiée: le signe de la maison rédoran à été ajouté sur le plastron...
Style de combat: genre mage de bataille. Marnus Utilise des sorts de déstruction et d'invocation avant d'achever ses e^nnemis à grands coups de claymore....
Ses compétences en soins peuvent etre utile après une bataille.
Histoire: Né de parents inconnu, il à été abandoné tout petit devant la porte d'un sanctuaire impérial. Il fut recueilli par un Breton qui découvras en lui de grandes capacitées magique. Marnus les maitrisa avec l'age est dévelopa un interet pour la desrtuction, la guerison et l'invocation. Il orait bien voulut étudier la nécromancie, mais son maitre et père adoptif le lui interdit. Un autre membre du temple lui enseigna l'art de la guerre. Il apprit donc à manier toutes les armes mais dévelopa un gout prononcé pour la précision et la lame longue. Il se débrouillait aussi en lance. à l'orsqu'il eu 17 ans, marnus quita le temple pour explorer le monde qui l'entourait. Avant son départ, son père lui remit une amulette sacrée et son instructeur au combat, qui était devenu son meilleur ami, un Dai-katana daedrique trouvée il y a très longtemps par un de ces aileux. Il considérait Marnus comme le seul digne de le porter...
Marnus partit donc et vagabonda jusqu'a la première ville qu'il trouva: Ald'ruhn. Là, il intervint dans une bagarre : les gardes n'osaient pas inetrvenir, les 2 protagonnistes étant surentrainés, mais Marnus réussit toutefois à les séparés. Suite à cette exploit il entra facilement dans la grande maison Rédoran dont il grimpa rapidement les échelons j'usqua devenir conseiller. A la mort du grand maitre Rédoran, les autres conseiller lui demandèrent de suceder au défunt, mais il refusa. En fait, il éstimait qu'il n'avait pas atteint le niveau necessaire pour ce poste, et il n'aimait pas commander. Il s'exila d'Ald'ruhn et vagabonda en tamirel. Il partit aussi pour le continent ou il rencontra le roi Athyn Séran et se lia d'amitié avec lui. Il lui rendit quelques petites service et se vit offrire son armure pour service rendu et comme cadeau entre 2 amis. Il a depuis juré de vebger la mort du roi Athyn.....

Navré pour les fôtes, masi j'était ressé